vendredi 18 janvier 2008

Le grand saut....

Titre évoquateur
Peut être pas tant que cela.
Pourquoi??
Parcequ'il ne concerne pas un saut dans l'inconnu , le courage et la volonté qu'il faut pour ces choses là est bien trop grand et je suis bien trop petit pour y prétendre...Toujours cette maudite peur, cet abominable lavage de cerveau que l'ont subient à chaque fois que l'on allume la TV pour y voir les infos (ou autres choses mais les infos c vraiment flippant).
Regardés comment les journalistes et à travers eux les états car il ne sont peu a pouvoir se prétendre independant manipulent l'info pour faire passer leurs messages. On les entend s'insurgés sur les méthodes politiques du l'équipe d'en face et dés que le "coequippier" politiques ont réussient à viré le concurrents alors on ne les entends plus ou prou...Car ils s'agit bien d'un sport ou le fair-play n'est pas de mise et ou la fidélité à son équipe varie en fonctiion du vent...
Un sport désolant qui anéantie toutes les valeurs que le vrai sport, celui fait d'abnégation de don de soi, de générosité, à tenté d'inscrire au plus profond de notre âme transformant une chose acquise en une chose inée...Malheureusement elle est en train de perdre sa bataille face à l'oisiveté, a l'ennui et à la facilité...Nous en percevons les dangers tous les jours nos "hommes" politiques (on devrait animal...politique)qui ne pensent... on se demande parfois a quoi tellement il ne sont plus qu'une machine machiavelique programmé pour se hisser inexorablement en haut de la pyramide...Naïvement je pensais que de ce promontoir ils avaient une telle vu d'ensemble qu'ils étaient difficile à ceux resté en bas de comprendre les arcanes de leurs décisions à la maniere de pharaon debout sur son tombeau comtemplant le long bandeau de verdure se frayant un chemin à travers l'immensité ocre du désert. Mais c'était au temps du romantisme...voici venir celui du doute...
Bref, revenons au sujet car je suis sure que vous vous languissez de savoir de quoi je parle...
En fait rien d'original, ce grand saut c'est celui à la vie civile.
Pour un militaire c'est un saut (bien plus flippant qu'un saut en parachute...)et ca l'est aussi dans l'autre sens...Comment revenir à une vie "normale" quand l'on été dix ans sous les drapaux...
Je suis sure qu'au début je vais chercher mes rangers avant d'aller au travail. Mais on nous à appris à nous adapter alors je vais m'en servir....
Je ne me reconnais plus dans l'institution militaire, elle qui m'a tant donné, je me demande si je fais pas preuve de couârdise en abandonnant ainsi au moment ou elle traverse un passage difficile, car c'est un tournant pour l'armée mais surtout pour le militaire...Je penserais toujours à mes camarades, des mecs de tout horizon venus là chercher une vie d'aventure, souvent le destin à guidé leur pas pour les amener au centre de recrutement. Au départ plein de bonnes intention émane de "l'institution"...trop vite bafoués par des chefs cynique et curaillon.
Ces lascars animés par l'envie de s'en sortir, ces jeunes voulant fuir une femme, leurs patelins paumés, ou quoi que ce fut d'autres. Tous réunis sous nos trois couleurs sentant le souffle de la France animer la fanfare et nos coeurs...Défiler avec ses camarades en chantant un hymne guerrier, mélancolique et triste. Parcequ'on y parle pas de haine ont pleurent nos morts tombés au feu...Et cela donne une véritable dimension tragique, surtout quand l'on se trouve dans les rangs...Je dois avouer que c'est grisant et limite bandant à certaine occasion...
Tout cela je ne l'oublierai pas, mais ils nous ont pris beaucoup aussi...Des camarades, heureusement pas pour moi, des femmes aussi, si vous saviez le nombre de divorces qu'on voit à
à l'Armée tout cela parceque les maris trop souvent absents n'arrivent pas à combler les attentes de leurs épouses ni même de leur enfants. Moi par exemple je suis célibataire géographique (c'est le terme employé) depuis deux mois et pour encore six...C'est une véritable épreuve de partir loin des siens pendant plusieurs mois, pour voir des choses que personne n'a vraiment envie de voir ou aller dans des pays que personne n'a envie de visiter...
Et l'armée et quand même responsables de beaucoup de séparation. Il serait toutefois injuste de lui incriminer tous les problèmes de couples...Mais se voir sur internet au s'appeler au teléphone, pendant une longue période, ne permet pas de résoudre quoique ce soit...
C'est la fin d'un périple pour moi, j'espère que ce qui est devant est cent fois mieux que ce que je quitte, je vais surement me sentir comme une coquilles vide dans quelques mois, mais le choix est fait, je ne reviendrais plus dessus...Et le coup de fil de mon pote Christophe (Big up à toi cousin si tu lis ces quelques lignes...)me comforte plus que jamais à suivre une autre voie...
Voila c'est tout pour aujourd'hui...il y à la CAN (coupe d'afrique des nations)...on peut pas etre en afrique et s'en désinteresser....

samedi 12 janvier 2008

Chassez le naturel....

Mbolo
Aujourd'hui je ne sens pas l'âme de la contestation en moi, elle qui est si souvent présente en moi, elle qui me motive et m'inspire. Cela m'a souvent desservie dans mon travail, on aime pas les gens qui suivent une autre route que la masse, surtout au sein d'une institution comme l'armée. Mais elle m'a aussi souvent servie pour peu que les arguments soit bons et le chef indulgent...
Non, aujourd'hui je suis un peu mélancolique...de quoi???
Peut être de tout et de rien....
Enfin, vous devez savoir que ma femme est parti.
Oh, biensûr ce n'est pas définitif, juste pour quelques mois (rien que ca...)elle est rentré en Françe, elle qui est déjà parti deux mois au Cameroun, en novembre décembre.
Alors vous comprendrez que la solitude commence à gagner même si on est endurçi par la vie (et l'armée) il arrive que cette peste arrive à percer une brêche dans la muraille que l'on se construit pour protéger notre raison et notre intellect.
De la même facon que l'eau vient à bout des roches les plus dure...Son secret c'est le temps, rien n'y résiste pas même la vie et encore moins l'amour...Quoique pour l'amour c'est pas forcément évident...Je dis cela car j'ai vu un film qui traite de ce sujet "Ne le dis à personne" c'est un film poignant sur un homme qui n'arrive pas à oublier sa femme disparu....Qui en fait ne l'est pas....
Je vous le conseille c'est bourré de talent à l'image de francois Cluzet, fantastique acteur trop souvent boudé par le cinéma. Cet art, qui peine de plus en plus à garder ce statut, tant le formatage commence à être plus en plus perceptible...On voit tjrs les même acteur dit "banquable"non pas qu'il soit mauvais loin de là mais nous commencons à sentir tout leurs ficelles, leurs moyens mis en oeuvre pour appéhender un personnage. On finit par se lassé de ce jeux de l'acteur studio, de ces gueules d'ange, de ces corps parfait, de ces défaults que l'on ne voit pas...Nous sommes loin de ces artistes torturés qui plus qu'une gueule à proposer avait une âme, une douleur qui leurs donnaientt une force unique...Quand retrouverons nous des Chaplin, des Gabin, et autres Bogart...des mecs arrivé là grace à leur présence loin des cours de théatre et du cours Florent (passage obligé pour la jeune génération française...)Ces gens sortait de la rue de la misére,un peu comme si on mettait nos banlieusard en scéne. C'était cela leur force une vie faite de galére de traquenard et autres coups dure. L'essence même de l'art c'est d'apporter à l'humanité une sensibilité, une acuité, une délicatesse pour nous faire appéhender le monde sous un regard qui échappe aux communs des mortels mais certains arrivent à transcender leur vécu leur éducation leur souffrances pour nous donne une chose, une oeuvre formidable et souvent colossale...Combien de grands acteurs de grands peintres ou de grands écrivains sont issus de la bourgeoisie!!!Guére, le constat saute aux yeux...Cependant tout n'est pas perdu, notre génération en manque total de repères de balises pour leur indiquer la route juste, trop chouchoutés par des parents qui pensent qu'un Noèl heureux est un Noèl repu de cadeaux. Eux même enfermés dans cette politique de consommation ou la vie consiste à amasser tout un tas de choses qui tôt ou tard finissent leur vie dans un placard ou dans quelques associations carritatives...Ce n'est la faute de personne c'est juste le chemin que nous décidons d'emprunter chaque jour ne pensant qu'à nos problèmes matêriels, c'est notre envie notre jalousie et notre égoïsme qui à pris le dessus sur tout le reste, il est loin le tps ou l'on était obligé d'être solitaire. Avant l'homme devait etre solidaire pour sortir de sa condition dominés par la nature, c'est ce qu'il fît, et avec brio s'il vous plait car ce sont nos illustres anciens qui nous ont emmenés là, mais nous avons perdu l'essentiel en route, ces valeurs de travail et d'abnégation, qu'il nous ont transmis. Nous devons nous reprendre, trouver les ressources nécessaires pour à notre tour marquer l'histoire de l'homme de notre empreinte. Nous sommmes à la croisée des chemins, la voila la grande bataille de notre temps serons nous capable de nous extraire de l'éducation de nos parents d'oublier tous nos (mauvais) repères pour créer ce que certains nommerait l'homme nouveau...Voila le défi, et il faut le relever, mes amis, nous n'avons pas le choix parceque le temps nous est compté. La planète se meurt, lentement certes, mais elle se meurt. Et bien malin est celui qui peut ne serait-ce qu'esquisser l'avenir du monde dans les vingt prochaines années. Jamais les heures n'ont été aussi sombres, il n'est pas questions de guerres ou de famines, il s'agit de notre avenir à tous blancs, noirs, jaunes, chrétiens, musulmans ou taoïstes le temps de l'unité arrive si nous ne faisons pas front ensemble si il y à ne serait qu'une hésitation dans notre détermination alors le combat sera d'autant plus compliqué. La situation du monde que ce soit en géopolitique en écologie ou même religieux n'a jamais été aussi obscure...
He bien me revoila à faire un bilan du monde, chassez le naturel il revient au galot....la contestation c'est vraiment ma nature profonde (enfin je crois....)je me demande comment un mec comme moi à pu passé dix ans à l'armée...sans doute la sécurité de l'emploi...Eh oui!!! Je suis aussi de ces gens là, qui par peur du lendemain et de la perte de notre confort ne sera jamais un homme libre, trop écrasé par la pression de l'argent...Car nous ne savons pas vivre autrement!!!
Mais quel homme "moderne " peut se prétendre libre??? Voila un véritable débat ou se situe notre liberté???
Voila un bon sujet pour le prochain message....

lundi 7 janvier 2008

cela ne s'arrange pas

Mbolo (bonjour)
Je voulais continuer mon message de la derniere fois, parler des merveilles de la fôret, de cette sensation de pureté originelle, qui nous fait tant défaut dans nos villes saturées par la pollution...
mais ce week-end je suis allé à la pointe Denis, c'est de l'autre côté de l'estuaire du Komo, en face de Libreville. C'est un peu le lieu de villiegature de la haute societé Gabonnaise Française et Libannaise...C'est un endroit paîsible situé au bord du parc national de Pongara (enfin c'est un ersatz de parc mais nous y reviendrons plus tard).
Donc je me promène sur la plage espèrant croisé une tortue, car c'est un site de ponte des tortues Luth, vous savez ces géants des mers venues des fonds des âges, j'ai assisté l'année dernière à la ponte de l'une d'entre elle. C'est absolument hallucinant de voir un monstre de 300kg (He oui) sortir de l'eau, elle qui ne vient sur terre seulement à cette occasion, c'est un reliquat du temps ou les tortues vivait uniquement sur terre, ceci en même temps que l'émergence des dinosaures il y a 150 millions d'années (c'est vous dire). elle font preuve d'une telle force d'un courage qui ferait pâlir n'importe quel chevalier romantique. Déplaçer une telle masse sur la plage cela relève de l'exploit, la voir sonder, hûmer, s'impregné de l'odeur du sable être attentive à chaque son, à chaque vibration émanant des alentours car elle sait que l'endroit convient, c'est ici qu'elle est née...Mais son instinct est fort, il l'a accompagné durant ces millions d'années.C'est leur symbiose qui les à menés jusqu'a nous, sans cela la nature ne l'aurait pas permis; Enfin elle trouve le bon endroit, elle s'y installe, prend possession de la place, personne ne pourra la déloger de là, elle est entierement dans sa mission faisant preuve du véritable esprit du guerrier au sens de Carlos Castaneda dans son livre "l'herbe du diable ou la petite fumée"...je conseille pour ceux qui aime ce que Aldous Huxley l'ouverture des portes de la perception. Seule la mort pourra l'arrêter, qui prend souvent la forme d'une machette...
Elle creusera pendant une heure avec ses palmes arrière dans un mouvement réglé comme une mécanique de précision ou chaque effort est mesuré méthodiquement faisant un trou de près d'un mêtre de profondeur. Elle y déposera ses oeufs avec soins et rebouchera son trou en y plaçant tout ses espoirs avec minutie car elle connait le prix de la vie; Elle qui est la seule survivante de sa portée (cela reste des statistiques...) qui a passé des années à dériver au gré des courants échappant à mille danger, profitant du moindre bout d'algue flottant pour se nourrir et se cacher car ce qui quand même extraordinaire c'est qu'avant d'être une tortue de 300kg elle ne mesurait que 8 petit cm pour un poid d'à peine 100g...Incroyable.
Ca ne s'arrète pas là, une fois bouché le trou doit être dissimulé des prédateurs, alors avec le peu de force qui lui reste elle va littéralement labourer la plage sur un rayon de 5m autour du nid afin de brouiller les pistes, à grand coup de nageoires elle va expluser du sable dans toutes les directions, les jets se mèlant à son souffle rauque, car elle souffre, voila maintenant plus de deux heures q'elle se démene.Mais c'est à ce prix quelle pourra avoir une descendance.
Enfin, avec la sensation du travail bien fait, et pas de place pour le doute, elle rassemblera ses dernières forces et s'en ira rejoindre le large....Magnifique.
J'en etais ou??
Ah oui, je me promène sur la plage avec mon pote David tout va pour le mieux, il fait beau, la mer luit de mille feux avec ce soleil qui embrase l'épiderme des petits blancs que nous sommes.
Midi approche, le ventre se creuse, nous décidons d'aller manger à l'Assala lodge c'est un bon resto sur la plage et qui plus est pas trés cher, le cadre est acceuillant et les rencontres au bar sont légion...pour peu que l'on soit un peu ouvert et bavard (comme moi....lol). Quand soudain mes yeux se fixent, ma main commence à martyriser la Castel (bière) mon coeur bat a 100 à l'heure...La colère monte, elle s'empare de moi. David sentant bien le malaise se retourne en suivant mon regard. Il comprend tout de suite, là bas sur le canapé, un bébé chimpanzée agé d'a peine six mois attaché par une laisse, oublié de ces göeliers trop occupé à faire du francs pour s'en occupé....Quand on connait l'importance de la socialisation chez les chimpanzées on ne peut rester indiffèrent...Peut être pensez vous que ma réaction excessive, à cela je répondrais deux choses, et croyez moi je n'essaye pas de me justifier, le but de ce blog étant de convaincre un peu au moins et pas de mettre en avant (ou en arrière) tel ou tel trait de ma personne...
Donc tout d'abord, je ne vous l'ais pas dit je suis mariée, mon épouse s'appelle Julie et elle à travaillé en tant que soigneur animalier dans un centre de réintroduction de chimpanzées au Cameroun et j'en sais maintenant beaucoup plus sur nos cousins de la forêt. Vous rendez vous compte que nous avons le même potentiel génétique...nous nous sommes séparés il y a peine 1millions d'annéés. N'importe qui les ayant fréquentés de près ne peut nier leur intelligence, leur curiosité, et leur presque humanité (ils en font la preuve plus souvent que nous....)
Je m'en vais à la rencontre de ce petit être, je m'approche mon coeur se noue à mesure que j'approche de lui ou d'elle d'ailleurs, enfin nos regards se fixe....et là....elle me regarde avec une telle douceur que mon malaise disparait comme si sa compassion avait eu raison de mes souffrances, de ma honte de faire parti de cette race qui détruisons sa maison et exterminons sa famille pour une liasse de billets...Mais comment pouvons nous avoir une démarche inverse quant on voit ce que les hommes peuvent faire à d'autres hommes pourtant frére...une race de rat comme disait Bob Marley, un cancer pour la terre comme je dis!!!!
Et c'est en discutant avec le patron que j'en apprend un peu plus le pauvre à receuilli le chimpanzé parcequ'un couple d'expatrié à pensé, avec sa bétise sans fond, que cela serait "sympa" voir "distrayant" d'avoir pendant leur séjour en Afrique un animal "éxotique"...Putain c'est pas vrai d'être aussi con....Comment agir ainsi, ces gens ne voient la portée de leurs actes, non seulement ils alimentent un trafic ignoble d'une violence inouïe et d'une stupidité inégalé (ca j'en suis pas sûre....)Mais le pire c'est qu'il s'en débarasse comme une vulgaire chaussette des qu'ils s'apercoivent de la réalité...De la difficulté,de la science, du temps et de l'amour qu'il faut consacrer à une tel animal.
Je terminerai parce qu'il est tard maintenant sur cette phrase de l'Illustre A.Einstein qui disait,
"Il y a deux choses infinies en ce monde, l'univers et le bétise, quoique pour l'univers je ne suis pas sûre"

jeudi 3 janvier 2008

L'immense forêt

Cette immense forêt ...
Il y aurait tellement à en dire cependant les mots manquent lorsqu'il faut retranscrire des émotions aussi intense...il est clair que certain doivent me prendre pour un hippie dégénéré ou un post soixante-huitar déglingué par toutes les drogues qu'il aurait ingurgités... Ouais ya peut être un peu de tout ca sauf que je suis pas de cette génération...Je suis plutôt un tecknoïde un peu raver mais totalement écolo...(putain je déteste ce mot).
Enfin, bref je voulais parler de la Forêt mais attention là je vous parle pas de la forêt sillonnée par les tracteurs ou les randonneurs pas non plus celle qui sert terrain de jeux à des chasseurs.Non non je vous parle de la forêt hostile, dangereuse, flippante, celle dont on se fait un passage à coup de machette (quand on a pas les pistes des éléphants....)celle encore habités par les peuples de la forêt là ou le temps s'est arreté ou les esprits sont encore vivants dans le coeur des hommes et ou ils vivent ensemble dans un profond respect...(C'est loin de nous ca...lol)
Cette forêt là elle vous prend les tripes, elle vous absorbe, elle vous consume par sa force, sa rudesse, sa générosité aussi...Mais il n'ait point aisé d'aller à sa rencontre il vous faut braver la chaleur, l'humidité, la fatigue, les insectes et autres parasites....Et la marche parce qu'on y va pas en 4X4 ou en avion la bas c'est à pied et uniquement a pied (pour ceux qui sont tentés entrainé vous....100KM pour commencer Eh oui ya le retour).C'est en payant ce prix que vous y accederé...et je vous ai pas parlé des ampoules et autres blessures qui s'infectent a la moindre occasion ... Pour ma part on s'est tapé une heure d'avion depuis Libreville pour aller à Makokou ensuite on est parti pour 4 heures de pirogue sur l'Ivindo, c'est aprés que ca se gâte environ 40 km topo (ca fait a environ 45km réel)...tout ça en un jour et demi et je vous jure qu'on en a bavé (je vous rappel que je suis militaire....la marche on connait!!!!)
Mais je vais pas tout vous raconter aujourd'hui....La suite demain
Je vous met une photo quand même c'est just un apercu....

Le perroquet gris du Gabon

Le perroquet gris du Gabon
Emblème du pays....